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jeudi 14 mars 2019

Examen de certification d'astrologue 2019


AUCUN DIVINATEUR CERTIFIE DEPUIS 2016


Les examens des années 2016/2017et 2018 ont recalé chaque année les candidats à la certification AFCPM FAVCM permettant à ces prestataires de revendiquer une qualification attractive dans 80 pays, auprès de 500 millions de clients potentiels.

On observe que les échecs les plus communs concernent la culture générale, les connaissances techniques (préoccupant), ainsi que le minimum à savoir en législation notamment Française et européenne de la consommation.

C’est ainsi que la CEDH, ou convention européenne des droits de l’homme est ignorée de tous les candidats. Notamment la référence essentielle aux articles 9 et 10 de la liberté de pensée et de la liberté d’expression. Puisque la divination relève de la liberté de croyance, ainsi que de la liberté de communiquer ses idées.
Il en est de même, en ce qui concerne les positions planétaires. Les candidats sont doués pour exposer les transaturniennes, en revanche ils s’avèrent incapables de situer, y compris sommairement, sans précision au km exact, la distance en Unités Astronomiques de la terre au soleil, ou de pluton au soleil. Ce qui pose un problème lorsqu’il s’agit d’expliquer au client les aspects et les mouvements orbitaux réels.

Plusieurs candidats à l’activité d’enseignant astrologue ignorent les conditions requises pour proposer des « cours », y compris par correspondance, en qualité d’établissement d’enseignement à distance. Quel type de contrat, et combien facturer notamment.

L’activité de divinateur ne consiste pas à délivrer la «bonne aventure», soit par l’analyse d’une pseudo carte dite astrale, soit par des affirmations dite de «don de voyance». Les clients sont de mieux en mieux informés sur les prestations, les prix, et les «techniques» employées. Ainsi que sur les recours à leur disposition.

Le prochain examen d’enseignant en astrologie est prévu sur QCM le 5 avril 2019. Vous pouvez faire acte de candidature par émail, dès aujourd‘hui en adressant vos motifs de postulation à afcpm-favmc@astroemail.com, il vous sera facturé la somme de 100 euros pour l’examen, payable par bouton paypal non remboursable. Le QCM s’étale sur plusieurs jours. Résultats le 30 avril. En cas de succès vous recevez les informations déclaratives nécessaires pour être répertorié sur le réseau européen des enseignants d’établissements privés. Vous pourrez aussi faire usage de la qualification « certified » dans les conditions du dépôt de la marque afcpm-favmc. A l’exception de la certification afcpm-favmc, personne ne peut se prétendre enseignant en astrologie, y compris celles et ceux intervenant à l’AGAPE        , ou se réclamant de la FDAF.


Conditions pour candidater
-          adresser votre candidature par email avec vos éléments de motivation
-          un émail d’accusé réception vous sera adressé sous 24 heures avec un bouton paypal de 100 euros à régler sous délai de 2 jours. L’accusé de réception de votre règlement vous inscrit en qualité de candidat 2019. Les candidatures par émail, sans le règlement sont reçues jusqu’au 5 avril.
-          [1]Le 5 avril 2019 vous recevrez votre premier QCM, vous disposez de 24 heures pour le retourner renseigné au format pdf.
-          Examen en Français
-          5 QCM sont prévus :
culture générale,
connaissances techniques,
histoire des idées astrologiques,
législation consommation pénal
cartographie et systèmes de repère spatiaux
-          Une épreuve test de consultation clos la phase de certification si nécessaire

Lectures conseillées pour votre préparation :
-          l’astrologie etla loi
-          Rapport surl’astrologie


Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés®™
Organisme de bienfaisance déclaré incorporation le 23/12/2016 à New York C397197 California New York
L’AFCPM FAVMC diffuse gratuitement l’information sur les activités des divinateurs astrologues-voyants afin que le consommateur soit normalement informé et raisonnablement attentif et avisé vis-à-vis d’un bien ou d’un service.

The purposes to be pursued in this state are:
Helping, by free advices of counter intelligence, psychics, mediums, and astrologers victims and others victims of various forms of mental frauds. Using for that any kind of communication system. Help for people who needed The Shadow Walking.
Enregistrement inpi N°16 4 609 207 21/10/2016 CEO claude Thebault Plento 26-6 Kaunas 45400 Lituanie
Adresse électronique afcpm-favmc@astroemail.com  )370 65867382
L’AFCPM informe gratuitement les victimes des voyants, des médiums et des astrologues, ni frais de dossier, ni cotisation d’adhésion, ni honoraires, ni dépens, ni demande de dons, ni quête


 modalités de traitement des réclamations et de médiation des art L et R.111-1 consommation

Modalités de traitement des réclamations
En application de l'obligation légale prévue au 2° de l'article R.111-1 et 6° de L.111-1 consommation (recours au médiateur) vous pouvez réclamer contre un texte publié à cette adresse internet en faisant usage du droit de réponse prévu par le décret du 24 octobre 2007 au conditions suivantes :
Décret n° 2007-1527 du 24 octobre 2007 relatif au droit de réponse applicable aux services de communication au public en ligne et pris pour l’application du IV de l’article 6 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique

Article 1
La demande d’exercice du droit de réponse mentionné au IV de l’article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée est adressée par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par tout autre moyen garantissant l’identité du demandeur et apportant la preuve de la réception de la demande.
La procédure prévue par le présent décret ne peut être engagée lorsque les utilisateurs sont en mesure, du fait de la nature du service de communication au public en ligne, de formuler directement les observations qu’appelle de leur part un message qui les met en cause.
Article 2
La demande indique les références du message, ses conditions d’accès sur le service de communication au public en ligne et, s’il est mentionné, le nom de son auteur. Elle précise s’il s’agit d’un écrit, de sons ou d’images. Elle contient la mention des passages contestés et la teneur de la réponse sollicitée.
Article 3
La réponse sollicitée prend la forme d’un écrit quelle que soit la nature du message auquel elle se rapporte. Elle est limitée à la longueur du message qui l’a provoquée ou, lorsque celui-ci ne se présente pas sous une forme alphanumérique, à celle de sa transcription sous forme d’un texte. La réponse ne peut pas être supérieure à 200 lignes.
Article 4
La réponse est mise à la disposition du public par le directeur de publication dans des conditions similaires à celles du message en cause et présentée comme résultant de l’exercice du droit de réponse. Elle est soit publiée à la suite du message en cause, soit accessible à partir de celui-ci. Lorsque le message n’est plus mis à la disposition du public, la réponse est accompagnée d’une référence à celui-ci et d’un rappel de la date et de la durée de sa mise à disposition du public.
La réponse demeure accessible durant la même période que celle pendant laquelle l’article ou le message qui la fonde est mis à disposition du public par l’éditeur de service de communication au public en ligne. La durée pendant laquelle la réponse est accessible ne peut être inférieure à un jour.
Lorsque le message est mis à la disposition du public par le biais d’un courrier électronique périodique non quotidien, le directeur de la publication est tenu d’insérer la réponse dans la parution qui suit la réception de la demande.
Le directeur de publication fait connaître au demandeur la suite qu’il entend donner à sa demande dans le délai prévu au troisième alinéa du paragraphe IV de l’article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée ainsi que, le cas échéant, les modalités selon lesquelles il y est donné suite.
Article 5
La personne qui adresse une demande d’exercice de droit de réponse peut préciser que sa demande deviendra sans objet si le directeur de publication accepte de supprimer ou de rectifier tout ou partie du message à l’origine de l’exercice de ce droit. La demande précise alors les passages du message dont la suppression est sollicitée ou la teneur de la rectification envisagée. Le directeur n’est pas tenu d’insérer la réponse s’il procède à la suppression ou à la rectification sollicitée dans un délai de trois jours à compter de la réception de la demande.
Article 6
Est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 4e classe le fait pour la personne mentionnée au 2 du I de l’article 6 de la loi du 21 juin 2004 susvisée de ne pas avoir transmis dans un délai de vingt-quatre heures la demande de droit de réponse conformément aux éléments d’identification personnelle que cette personne détient en vertu du III du même article.
Article 7
Les dispositions du présent décret s’appliquent à Mayotte, aux îles Wallis et Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie.
Article 8
La ministre de l’intérieur, de l’outre-mer et des collectivités territoriales, la garde des sceaux, ministre de la justice, et la ministre de la culture et de la communication sont chargées, chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 24 octobre 2007.

Votre réponse éventuelle, argumentée, avec ou sans pièce jointe comme élément de preuve sera publiée sous le texte initial avec la mention "droit de réponse" selon la forme prévue au décret. Les textes de propagande, de publicité ou de promotion d'activité seront refusés. Dans tous les cas, sans que vous puissiez vous y opposer, un commentaire suivra l'article expliquant le motif d'acceptation, ou de refus, de la demande de réponse formulée.

Soyez attentif au fait que votre demande ne porte atteinte à la liberté d’appréciation, et d’expression de l’auteur du texte, notamment au regard des références citées.

Vous pouvez ensuite saisir pour une médiation le médiateur du livre et de la culture à l'adresse suivante si votre demande reçoit une réponse négative argumentée, dans l’éventualité où cette médiation entre dans sa compétence pour la recherche d’une conciliation (prix du livre, et activité éditoriale):
www.mediateurdulivre.fr






[1] Chaque année les QCM changent

lundi 13 février 2017

VOTRE DIVINATEUR EST-IL CERTIFIABLE?










Un article de la Fédération Américaine des Voyants et Médiums Certifiés immatriculée en dénomination bilingue, française et anglaise, aux USA

Le titre de cet article paraphrase, en mode de droit de citation, un papier paru en anglais, le 29 octobre 2016, d’Armand DIAZ, docteur -phD- de l’institut Californien des Etudes Intégrales publié sur le site de l’ANS. Astrology News Service.

Armand DIAZ s’interrogeait à propos de la certification des astrologues en Amérique du Nord. Le public européen ignore la situation disparate des divinateurs aux USA. Croyant que ces activités y sont libres et légales. La réalité diffère beaucoup de cette appréciation superficielle. Car les 50 Etats constituant la Fédération Américaine se sont dotés de lois anti divination à contours variables et divers. Certes, en Amérique du Nord, des zones existent dans lesquelles des astrologues développent des activités, avec une relative sécurité. Mais à l’exception de quelques organismes associatifs, cités limitativement par Armand DIAZ, la divination y est moins développée qu’en Europe à taille comparable de densité de population. La divination américaine comporte, en plus, ses spécificités culturelles. La plus connue d’entre elle étant la scientologie, reposant pour partie sur la croyance en une religion, pour partie sur les travaux astrologiques de son fondateur Ron Hubbard.

Le billet d’Armand Diaz est appelé à connaitre de plus amples développements. Car, à sa lecture, des signes apparaissent selon lesquels il amorce, pour la première fois sur le nouveau continent, une vaste réflexion d’ensemble.

Ses premières réflexions concernent la situation des astrologues. Tous les Etats américains n’acceptent pas les astrologues, au regard de leurs lois anti divinatoires particulières, lesquelles sont à analyser avec la législation fédérale en vigueur. Ce qui fait deux niveaux de lecture, pas toujours compatibles. Y compris si le principe de base est réglé par le 1er amendement de la Constitution Américaine, lequel se traduit en Français par cette formule :

« Le Congrès ne fera aucune loi qui touche à l’établissement ou interdise le libre exercice d’une religion ni qui restreigne la liberté de parole ou de la presse, ou le droit qu’à le peuple de s’assembler paisiblement et d’adresser des pétitions au gouvernement pour la réparation des torts dont il a à se plaindre »

IS YOUR ASTROLOGER CERTIFIABLE ? votre astrologue est-il certifiable ?


















Armand Diaz pose au début de sa réflexion la proposition selon laquelle : « Certification in astrology means that professionals have at least the minimum level of competence to practice as judged by their peers” La certification en astrologie signifie que les professionnels possèdent le niveau minimum de compétence pratique selon l’avis de leurs pairs.  Cela signifie, de l’avis d’Armand Diaz, la nécessité de détenir un faible niveau de pratique comme niveau d’appréciation d’autres praticiens de niveau similaire. Puisque le mot pairs désigne les pareils au sens des collègues. La situation se complique, de l’avis d’Armand Diaz, par l’indépendance dans laquelle les astrologues se distinguent les uns des autres, ce qui réduit d’autant le champ de leur reconnaissance officielle. Aux Etats-Unis l’astrologie n’est pas une activité monolithique. Ce qui revient à considérer la réalité, connue aussi en France, selon laquelle il existe autant d’astrologies différentes qu’il y a d’astrologues.  Constat d’évidence d’Armand Diaz « Yet the field of astrology is hardly in chaos”. Le champ de l’astrologie constitue un chaos. Pour tenter une approche acceptable, Armand Diaz s’en tient aux standards reconnus par une majorité de praticiens. Mot à bien retenir, car dans son texte Armand Diaz prend soin de ne jamais les qualifier de professionnels au sens de profession officielle. Aux Etats-Unis aucun Etat, sauf erreur, ni non plus la loi fédérale, ne reconnaissent officiellement une profession d’astrologue au sens d’une formation dispensée dans les écoles légales des Etats, avec diplôme reconnu par la Fédération, assortie d’une convention collective avec des droits sociaux négociés.

Des associations d’astrologues existent aux Etats Unis, dont les plus importantes sont l’AFA, l’AFAN, l’ISAR, la NCGR et l’OPA. Chacune de ces organisations propose des programmes que l’on ne peut assimiler à des cours au sens scolaire du mot, ni non plus à des enseignements, par absence de reconnaissance officielle des contenus. Ces programmes comportent des exercices de validation des acquis tels que la lecture d’une carte de naissance, l’interprétation des transits, la détermination des évènements, ainsi que le cas de l’examen de la consultation avec un client, par deux astrologues observateurs. Certes des niveaux d’examen différents existent selon les types de catégories. Chaque organisation possède son approche. Armand Diaz cite le Kepler Collège[1].

Après ce tour d’horizon des modes de transmission des contenus à savoir, Armand Diaz observe :
.certes il est intéressant de connaître la diversité des méthodes employées, ainsi que le fait qu’une organisation d’astrologie peut évaluer des pratiques que l’on pourrait qualifier de recherche de compétence ou de professionnalisme

.toutefois trouver un astrologue « certifié », selon cette approche, ne constitue en aucun cas une garantie, pour le client, que la personne soit un bon astrologue. Armand Diaz ajoute que cette personne sera en mesure de répondre aux besoins exprimés.

Le billet d’Armand Diaz revient à dire, que si deux astrologues « valident » la pratique d’un troisième, celui-ci devrait en théorie satisfaire la, ou les, demandes correspondantes émises par la clientèle. Une application de la maxime de stratégie chinoise selon laquelle, Trois hommes font un tigre. Cette sentence se rapporte à l’application du biais cognitif dit de l’erreur de confirmation, observée à la Cour de l’Empereur Jaune. Un confident influent est appelé à s’absenter. Avant de quitter la cour il prévient l’Empereur Jaune en ses termes. « On dira du mal de moi, en mon absence, n’en croyez rien Monseigneur. Ni les déclarations d’une personne, ni de deux ». Trois jours après le départ, un courtisan bien intentionné informe l’Empereur Jaune que son conseiller a détourné de l’argent. L’Empereur Jaune refuse d’y donner crédit. Cinq jours plus tard un second courtisan informe l’Empereur Jaune des mêmes faits. Nouveau refus. Quelque-jours après un troisième courtisan informe à nouveau l’Empereur Jaune d’autres détournements financiers. Celui-ci -se dit alors, trois délateurs disent la même chose, il doit y avoir un fond de vérité. Il ordonne d’arrêter son conseiller à son retour. Informé à temps, le conseiller s’enfuit. Le billet d’Armand Diaz relate l’effet de l’auto validation, en relativisant les conséquences en terme de compétence. Le mot certification, dans ces conditions, sert de moyen de confirmation de pratiques, sans apport qualitatif. Cela signifie que focaliser spécifiquement, sur quelques éléments de pratiques partagées, ne saurait caractériser l’exercice d’une activité au sens en soi de qualifiante. En somme la reproduction, la copie, l’imitation, de pratiques ne sauraient suffire à qualifier leur auteur d’une compétence. Armand Diaz, sans le dire, dénonce la singerie en faisant état d’une exigence supérieure de maîtrise intelligente des techniques et des contenus. Le phénomène dénoncé par Armand Diaz s’observe sur Facebook, avec la constitution des chapelles astrologiques, qui se forment au grès des courants d’influence. Ou suite aux lectures mal comprises de livres eux même obscurs.

Un exemple pratique nous est donné avec l’astrologue faux voyant Rambert. Se plaignant d’atteinte « à son honneur et à sa considération professionnelle » il engageait en novembre et décembre 2016 des actions judiciaires au nombre de 4 sous la forme de 2 citations directes pour diffamation au pénal, et deux référés civils. M RAMBERT pensait, avec candeur, qu’il était un professionnel. Effet du biais de l’erreur de confirmation consistant à projeter ses préjugés sur une réalité. Son adversaire, contre toute attente, produisit des éléments matériels selon lesquels les activités d’astrologue voyant sont insusceptibles de caractériser, en France l’exercice d’un métier.  En effet, depuis 1843, la pratique des arts divinatoires constitue une activité délinquante répréhensible. Afin de justifier son action, M RAMBERT produisait un document, selon lequel il adresse ses déclarations mensuelles de TVA en qualité de professionnel. Naïveté que celle de confondre un système de tri entre catégories, et attribution de qualité. On trouve en effet, aux recettes des impôts, deux boites aux lettres pour déposer ses formulaires : celle des particuliers, et celle des professionnels ou entreprises. M RAMBERT pensait agir utilement en faisant taire les critiques relatives à ses pratiques, ainsi qu’à ses classements fantaisistes de meilleur des meilleurs. Alors qu’il présidait, depuis le 1/11/ 1997 l’association Aide par la Voyance, l’astrologue Faux Voyant RAMBERT préféra la dissoudre le 1er juin 2016.










Se privant ainsi d’un outil, pour faire reconnaître la profession de voyants dont se dispensa son ami[1] Sissaoui, avec lequel il entretient de cordiales relations. Confondre la croyance-subjective- que l’on exerce une profession, alors que celle-ci n’existe pas, revient à faire son malheur soi-même. De récentes informations indiquent, que la fausse voyante berrichonne, Estelle des Enclos, envisage, elle aussi de faire taire les critiques car elle pense exercer une profession. En ce cas, qu’elle produise d’abord sa licence en prophétie, en précisant le nom de l’Université qui lui décerna ce titre. Car en France n’exercent un métier que ceux qui ont obtenu un titre officiel reconnu. A cet effet le CAP fut créé. CERTIFICAT d’APTITUDE PROFESSIONNELLE. Mme Estelle des Enclos a-t-elle au moins un CAP en prophéties ? Pas plus, semble-t-il, que son compère RAMBERT


Ce qu’Armand Diaz exprime sous une autre forme. Singer une profession ne constitue pas une compétence reconnue.

A Suivre…continued  
ϕclaude thebault 11 février 2017




[1] "Suite à ma conversation avec M Youcef Sissaoui, que je connais et apprécie depuis 35 ans.
Nous avons débuté dans le monde de la voyance presque à la même époque.
Nous nous sommes bien connus et appréciés depuis cette période ancienne"
témoignage de Rambert écrit le 21/07/2016



[1] Astroemail a publié une analyse critique des méthodes du Kepler Collège en page 

DROITS INTELLECTUELS
le contenu de cet article est protégé par le régime du droit d'auteur
http://astroemail.com/blog/droits-intellectuels.html

dont vous trouverez le détail à l'adresse. Reproduction interdite


CARACTERE PLURALISTE DE L'EXPRESSION DES COURANTS DE PENSÉE ET D'OPINION
les textes de ce site d'informations et de renseignements juridiques à caractère documentaire sont conformes à l'article 1er de la LCEN loi du 24 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique

Le droit français considère les arts divinatoires en qualité en qualité d'exercice d'escroquerie par activité selon la définition donnée au Dalloz Pénal 2017 en commentaire de l'actuel article 313-1 définissant l'escroquerie, page 1045, notice 153.

Le même commentaire était publié en notes de l' ancien article 405 escroquerie du code Pénal Dalloz -page 589 Dalloz code Pénal 1992- 

Ce site traite, la voyance ainsi que les pratiques des arts divinatoires, en qualité d'escroquerie dès lors que, contre argent, des actes destinés à persuader les crédules, de l'existence de pouvoirs oraculaires, sont engagés.

NOR: ECOX0200175L 
Version consolidée au 04 avril 2016 
TITRE Ier : DE LA LIBERTÉ DE COMMUNICATION EN LIGNE
Chapitre Ier : La communication au public en ligne.
Article 1 
I, II, III : Paragraphes modificateurs.
IV - Ainsi qu'il est dit à l'article 1er de la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication, la communication au public par voie électronique est libre.
L'exercice de cette liberté ne peut être limité que dans la mesure requise, d'une part, par le respect de la dignité de la personne humaine, de la liberté et de la propriété d'autrui, du caractère plurialiste de l'expression des courants de pensée et d'opinion et, d'autre part, par la sauvegarde de l'ordre public, par les besoins de la défense nationale, par les exigences de service public, par les contraintes techniques inhérentes aux moyens de communication, ainsi que par la nécessité, pour les services audiovisuels, de développer la production audiovisuelle.
On entend par communication au public par voie électronique toute mise à disposition du public ou de catégories de public, par un procédé de communication électronique, de signes de signaux, d'écrits, d'images, de sons ou de messages de toute nature qui n'ont pas le caractère d'une correspondance privée.
On entend par communication au public en ligne toute transmission, sur demande individuelle, de données numériques n'ayant pas un caractère de correspondance privée, par un procédé de communication électronique permettant un échange réciproque d'informations entre l'émetteur et le récepteur.

On entend par courrier électronique tout message, sous forme de texte, de voix, de son ou d'image, envoyé par un réseau public de communication, stocké sur un serveur du réseau ou dans l'équipement terminal du destinataire, jusqu'à ce que ce dernier le récupère